Les insectes sont-ils la nourriture du futur ?

Par Nicolas Dimopoulos

Que diriez-vous d'un petit-déjeuner de sauterelles, d'une collation avec des scorpions frits recouverts de chocolat ou d'un dîner avec un burger de vers ?

L'Occident a toujours eu un "problème" avec les insectes en tant que nourriture et source d'énergie. Malgré les efforts de certains pour changer ces perceptions, ces tentatives étaient souvent ridiculisées, dégoûtées et effrayantes. Mais pourquoi évitons-nous les insectes si fortement ?

Selon les enquêtes, les insectes sont susceptibles de mieux répondre aux besoins d'une population qu'un régime plus conventionnel.

Les insectes sont beaucoup plus nutritifs et riches en vitamines et en protéines que même nos vaches, nos poules et nos moutons connus. Il convient également de noter que la majeure partie de la masse d'insectes est propre à la consommation.

Bien entendu, la consommation d'insectes présente des avantages écologiques, car ces organismes émettent moins de gaz à effet de serre. Mais il ne faut pas négliger la valeur nutritionnelle des insectes. Seulement quatre sauterelles ont autant de calcium qu'un verre de lait, alors que certains vers ont plus de protéines que le bœuf.

Cependant, l'idée des insectes et des arachnides en tant que nourriture commence et devient plus acceptable dans les sociétés occidentales. Les touristes sont la "ligne de front" de ce mouvement, faisant connaître des délicatesses telles que la tarentule frite à l'Ouest. Des chefs renommés ont également apporté leur soutien à ce mouvement informel. Plusieurs séminaires et séminaires d'information sur l'utilisation des insectes en cuisine sont devenus plus réguliers.

Mais quelle est la saveur ? La friture de sauterelles rappelle les noix, tandis que les fourmis grillées n'ont presque pas de goût. Mais des restaurants insectivores ont commencé à apparaître.

Bien sûr, beaucoup d’entre nous peuvent provoquer un grand choc et surprendre la nouvelle que nous mangeons déjà des insectes, bien sûr, sans le savoir. Un chocolat, par exemple, peut contenir au moins 60 morceaux d'insectes divers (tolérable, du point de vue sanitaire, "contamination"). Les choses sont semblables aux aliments qui ne sont pas aussi bien transformés que le maïs en conserve, où vous pouvez trouver des morceaux d'insecte à un stade précoce.

Changer de régime comprenant des insectes n'est peut-être pas si difficile du tout. Tout est fait pour briser les préjugés et surmonter les doutes. Ceux d'entre vous qui ont encore des réserves, un seul test peut changer votre perception.


Le B2B, un marché encore mal connu du grand public ?

Par Loïc Eymard et Marion Glanard

Nous connaissons tous le marché du B2C (Business to Consumer). Cependant, de nombreuses personnes méconnaissent voir ignorent l’existence du B2B (Business to Business).

Comme son nom l’indique, ce marché concerne les échanges entre entreprises et représente une part considérable du marché du travail en France. Les objectifs et les enjeux des entreprises sur ce marché sont évidemment différents du marché du B2C, mais c’est précisément ce qui fait tout son charme !

Marc Diviné, spécialiste en Management de l’innovation dans le domaine du B2B, nous a ainsi sensibilisé aux pratiques de ce secteur et nous en a initié les fondamentaux de ce marché en nous plaçant du point de vue professionnel. Par la suite, nous avons pu mettre directement à profit nos nouvelles connaissances, et ce à travers un véritable cas pratique. 

Ce marché ne cesse de se démocratiser et représente aujourd’hui un véritable vivier d’opportunités professionnelles. C‘est pourquoi, il est devenu essentiel pour tout marketeur de s’intéresser au fondamentaux d’un tel marché, d’être capable de se mettre dans la peau d’une entreprise et de pouvoir prendre les bonnes décisions pour améliorer sa situation ou simplement développer ses activités.


Les Frigos Solidaires : une innovation contre le gaspillage alimentaire

Par Mathilde Courtejaire

En France le gaspillage alimentaire dans la consommation des ménages représente 20 kg de déchets par an et par personne dont 7kg de déchets alimentaires non consommés encore emballés. En parallèle, la pauvreté est un fléau toujours présent en France.

C’est dans ce contexte qu’est né le frigo solidaire. Il s’agit d’une innovation sociétale qui se veut remplir 2 objectifs compatibles : la lutte contre le gaspillage et l’aide aux plus démunis.

Le frigo solidaire est apparu pour la première fois à Berlin, l’idée est venue de l’association Lebensmittelretten, spécialisée dans la récupération et le partage de nourriture. A la base, l’association avait simplement crée un site participatif qui permettait le partage de nourriture, une sorte de Airbnb alimentaire. Mais l’association a voulu développer son offre en s’associant les grandes surfaces et restaurateurs. En effet, ces derniers vont jouer un rôle important dans le projet, car c’est devant leur enseigne/restaurant que se trouvent les frigos. Chaque matin l’enseigne sort le frigo (ce dernier est donc étanche), et le range à la fermeture, évidemment, elle participe également à son remplissage, par exemple à la fin du service du midi, le restaurateur peut mettre y les plats restants. Finalement, l’enseigne en tire des avantages à moindre coût : elle renvoie une image d’entreprise solidaire et écologique.

En France, le frigo solidaire est à l’initiative de l’association cap ou pas cap, qui se dit être un « accélérateur de transition et d’engagement citoyens »

C’est un projet qui a vu le jour grâce au crowfunding, en effet, une cagnotte a été lancé sur le site Helloasso, d’ailleurs, la cagnotte est toujours d’actualité afin de mettre en place davantage de frigo solidaire en France. L’argent sert notamment à construire et promouvoir le projet, il faut que la cagnotte atteigne 1300€ afin de concrétiser le projet.

Ainsi, le premier frigo solidaire parisien a été inauguré le 8 juin 2017 par Dounia Mebtoul restauratrice à Paris. C’est elle qui a accueilli le premier frigo solidaire de Paris dans son restaurant.

Cependant, le concept rencontre une problématique : toutes les cibles ne sont pas faciles à atteindre. En effet, certaines cibles comme les étudiants vont pouvoir être informé du concept assez facilement, notamment par les réseaux sociaux. Mais concernant une des principales cibles des frigos solidaires qui sont les sans-abris, la tâche est plus compliquée. En effet, comment promouvoir le concept à des personnes, qui n’ont pas de télé, internet, pas les moyens d’acheter la presse, autrement dit, qui n’ont pas accès à l’information ?


Gravity Light : une innovation sociale

Par Marion Glanard

C’est le défi que se sont lancé les fondateurs de Gravity Light : créer un éclairage qui n’utilise pas de pétrole, qui n’est pas dangereux à utiliser, qui ne coûte rien et qui est autonome.

En effet, le contexte actuel est alarmant : plus d’un milliard de personnes vivent toujours sans accès à l’électricité ou avec des lampes à pétrole dangereuses pour la santé.

© Gravity Light Foundation, Press Pack 2016

Le concept

Dans un premier temps, ils se sont dirigés vers les panneaux photovoltaïques qui se sont révélés trop coûteux compte tenu de leurs objectifs.

Leur innovation repose sur des principes simples :

  • Un éclairage par la gravité et immédiat
  • Une énergie auto-entretenue et renouvelable
  • Pas d’effet néfaste sur les Hommes et l’environnement

Leur réussite

C’est grâce aux nombreux retours de leur Crowdfunding que l’entreprise a pu améliorer leur produit, le rendre plus robuste, facile d’utilisation et plus lumineux.

Avec ces actions, ils ont pu tester le produit directement au Kenya et avec les retours utilisateurs, l’innovation pourra s’améliorer et se propager mondialement.

Aujourd'hui, l'entreprise souhaite aller plus loin dans la conception d'un éclairage instantané et écologique avec Now Light. Ce nouveau modèle fonctionnera sur les mêmes principes que Gravity Light, c'est-à-dire une alternative aux lampes à pétrole et une énergie auto-entretenue mais en plus, Now Light sera transportable, multifonction et plus puissant !

© Gravity Light Foundation, Press Pack 2016

Biosenseur pour la detection rapide du virus Ebola

Par Coralie Peter

La maladie à virus Ebola est une maladie très grave, contagieuse et potentiellement mortelle. Près de 30 000 cas de maladie à virus Ebola ont été recensés entre 2014 et 2016 et plus de 11 000 personnes en sont mortes. L’épidémie de 2014-2015 a été un fait marquant de l’actualité dans le monde et après avoir cru à une éradication de la maladie, de nouveaux cas ont été déclarés. Ces faits font de cette maladie une urgence sanitaire et ouvre sur un marché cible important.

Afin de limiter le développement et la propagation de cette maladie grave, le développement d’outils diagnostic plus rapides, simple d’utilisation et à usage unique est grandement nécessaire afin d’identifier et limiter les zones endémiques.

De nos jours, la technologie utilisant des senseurs biologiques (enzymes, les acides nucléiques, anticorps) a été reconnue comme une alternative future pour la détection et la quantification d'une grande variété d'analytes en raison de la haute spécificité et sensibilité de ces biocapteurs ainsi que de leur processus de fabrication simple et rentable. Ce test est constitué d’une électrode, sur laquelle est déposé un fin film transparent de graphène oxide où pourront être fixés, grâce à des nanoparticules d’or, les anticorps spécifiques de la glycoprotéine du virus Ebola. Si l’échantillon de sang du patient est contaminé, les anticorps vont fixer le virus et induire le passage d’un potentiel positif jusqu’aux particules d’or. Ce potentiel positif entraine un changement de charge du graphène oxide et conduit à la diminution de la conductance globale. Ainsi, il existe une relation inversement proportionnelle entre la concentration en virus et la conductance. 

Cette technologie apporte de nombreux avantages. En effet, l’affichage du résultat est de l’ordre de quelques secondes, soit bien plus rapide que les autres tests (environ 15 minutes). L’innovation porte également sur son système simple d’utilisation permettant une large portabilité ne nécessitant aucune technologie particulière et donc la possibilité de le transporter dans des régions plus rurales et de favoriser l’accès dans les zones où la propagation est la plus importante. 


La « Consult’Station » : la première e-cabine de télémédecine !

Par Johanna Moisan

Depuis quelques années, on voit un peu partout autour de nous le développement de la téléconsultation, dont l’objectif est d’améliorer le parcours client, de le simplifier. Il en existe différentes formes : le télé conseil, la télé expertise, la visioconférence, etc. Mais une nouvelle façon de vivre la consultation médicale est apparu : la télécabine médicale connectée.

Près de 2,5 millions de Français vivraient dans des déserts médicaux, c’est à partir de ce constat et de son expérience médicale internationale, qu’une entreprise française (H4D) s’est lancé un pari « un médecin partout, tout le temps ». Cette cabine est une technologie unique qui permet d’établir une prise en charge complète d’un patient. C’est 12 ans de travaux et de R&D qui ont été nécessaires pour développer cette cabine, celle-ci permet à un médecin à distance de faire une consultation médicale en guidant le patient grâce à 13 appareils médicaux connectés disponible à l’intérieur de cette cabine, le patient l’utilise en suivant les indications du médecin. Il y a un thermomètre, un tensiomètre, ce qu'il faut pour contrôler les oreilles, les yeux, un stéthoscope. Tous ces appareils étant connectés, le médecin voit les indications et les résultats à distance et en direct live... Le dispositif a la particularité de prendre en compte les critères de prise en charge du malade. La start-up s'interface avec les médecins traitants.

Pour y accéder, il suffit de prendre rendez-vous puis une fois devant la machine d’insérer sa carte vitale, de s’installer dans la machine et c’est parti. A la fin de chaque consultation, le médecin de H4D fait un rapport complet au patient. Le médecin, à l'issue de la consultation peut délivrer une ordonnance. Elle est imprimée directement dans la cabine tout comme le compte-rendu de l'auscultation qui est envoyé au médecin référent de la personne malade.

Cette innovation, testée il y a quelques années, en 2015, mais lancé en 2017 est particulièrement utilisée par les assureurs (Groupama, Axa, Intériale, LMDE...) mais ils ne sont pas les seuls, les cabines peuvent aussi être installé en maison de retraite, dans les déserts médicaux, dans les mairies... Les assureurs eux ont dans un premier lieu lancé cette cabine dans leur propre entreprise avant ensuite de la proposer à leurs entreprises clients (pour les assureurs santé collective).

Pour le moment, les consultations à distance ne sont pas encore remboursées par la sécurité sociale mais des discussions sont en cours, c'est donc la mutuelle des salariés qui va prendre en charge la consultation.

Le marché est en pleine expansion, et cette innovation arrive comme le « sauveur des personnes à mobilité réduite ». Bien-sûr, le projet peut davantage être amélioré, et permettre par la suite aux entreprises de plus petite taille d’avoir un service tel que celui proposé actuellement.


L'innovation destructrice

Par Mathieu De Frias

L’innovation a incontestablement permis une amélioration du mode de vie à travers les nouvelles technologies, les transports, ou encore les moyens de production. En revanche, pouvant apparaître dans un premier temps comme une forme de progrès, l’innovation a également des conséquences négatives à plus ou moins long terme.

En effet, l’innovation a pour objectif de répondre à des besoins nouveaux ou préexistants mais peut avoir pour conséquence la destruction des produits ou services. Apple, par exemple, est à l’origine de l’obsolescence des produits de la même marque en raison de son processus d’innovation trop rapide. La production et commercialisation de smartphones toujours plus innovants en un temps réduit accentuent ce phénomène d’obsolescence auxquelles les entreprises répondent par de nouvelles innovations. De plus, ces innovations ont eu un effet néfaste sur les ventes d’autres produits, tels que les appareils photo qui sont peu à peu remplacés par des téléphones portables dont la qualité photo ne cesse de concurrencer les vrais appareils. En terme de service, Amazon, avec l’achat en ligne, permet un accès illimité à la consommation partout dans le monde et depuis son domicile. L’entreprise ne cesse de proposer de nouvelles fonctionnalités ayant pour but de rendre l’achat encore plus facile (commande en 1 clic) et encore plus rapide (service Premium pour une livraison en un jour). Ce nouveau mode de consommation entraîne inévitablement la perte progressive des boutiques physiques.  

Les conséquences de l’innovation peuvent également être observées sur un plus long terme. Cette destruction plus lente est l’exemple même d’internet. Internet est d’abord né d’un réseau militaire et universitaire aux Etats-Unis. Ce réseau s’est ensuite ouvert aux sociétés, administrations et à d’autres pays. Enfin, la création d’entreprises fournisseurs d’accès et les différents navigateurs ont permis une démocratisation d’internet ayant pour conséquence la facilitation du quotidien. Les effets néfastes de l’utilisation d’internet ne sont observés que des années plus tard avec la prise de conscience des effets des ondes sur la santé et de la destruction de l’environnement. En effet, même si internet a permis une amélioration considérable des modes de vie, la quantité importante d’énergie consommée pour le stockage et l’envoi de données entraîne une pollution massive.  

L’innovation est un processus de création également à l’origine d’un phénomène de destruction. Cette destruction oblige alors les entreprises à être plus innovantes pour rester compétitives face à la concurrence.


Technique de créativité : une étape essentielle dans le secteur de l'innovation

Par Mathilde Courtejaire et Johanna Moisan

Lors de son cours intitulé « Les techniques de créativité », Jessica Guillot, fondatrice du cabinet de conseil en Design Management, DMC, nous a proposé une séance de Design Thinking.

L’objectif de la journée était de répondre à la problématique suivante : « La cafétéria de l’université souhaite faire plus de bénéfice chaque midi et être plus fonctionnelle et attractive pour les étudiants. »

Notre première mission a été d’observer l’environnement et interroger les utilisateurs afin de restituer une analyse complète destinée à mettre en évidence les points négatifs de la cafétéria que nous souhaitons améliorer.

Ensuite, nous avons « brainstormé » par groupe afin de proposer diverses solutions, sachant que la consigne était de créer une application et de réaménager l’espace.

Pour finir, pour matérialiser nos idées, chaque groupe a maquetter son application et construit, à l’aide de LEGO, son nouvel espace.

Cette séance nous a permis de découvrir le design thinking, une approche de l’innovation collaborative qui suscite beaucoup d’engouement depuis plusieurs années et qui est devenue incontournable pour de nombreux innovateurs !


Digital Marketing : s'adapter au monde d'aujourd'hui

Par Zhao ZHU

Enseigné par Guillaume Damée, qui nous a demandé au début d'effectuer un travail de "personnel branding" sur des différents réseaux sociaux. Cela nous a donné une initiative de nous "vendre" via des outils informatiques et éventuellement le fonctionnement du référence sur internet.

Ensuite, nous avons découvert différents étapes pour créer un site internet pour une entreprise (de A à Z), notamment au niveau de la structuration du site, le référencement par rapport aux concurrents…… Vous pouvez les découvrir pendant les séances.

Monsieur Damée nous a mis en pratique également ses théories avec le développement et le management du site Marketing de l'innovation et la communication de la conférence 2019 via différents canaux.

Pour finir ce module, en utilisant les outils et les théories que l'on a appris pendant les séances, nous avons chacun effectué une présentation de l'écosystème digital d'une marque choisi.

C'est un module vraiment pratique non seulement pour travailler dans le domaines digital marketing, mais aussi pour s'adapter aux nouvelles façons de travailler dans le monde d'aujoud'hui.


Wellness Institute lance sa nouvelle application qui aide à la gestion du stress : Stress Free now

Par Nicolas Dimopoulos

De nos jours, la majorité des visites chez un médecin concernent des soucis reliés au stress.
Maintenant, vous pouvez faire quelque chose pour atténuer le stress de votre vie. Avec les Méditations sur le stress de la Cleveland Clinic, offertes par le Wellness Institute de la célèbre clinique Cleveland, vous pouvez pratiquer des techniques de relaxation éprouvées en clinique qui vous aideront à réduire et à maîtriser votre sentiment de stress.

Le Wellness Institute propose des programmes de bien-être qui préconisent une vie saine grâce à la nutrition, à l'exercice et à la gestion du stress. Dirigé par Michael F. Roizen, auteur de best-sellers et autorité en matière de bien-être, le Wellness Institute aide les gens à atteindre un bien-être optimal et une qualité de vie optimale. Cleveland Clinic Stress Meditations est la première application mobile offerte par l'Institut.

Mettant en vedette sept techniques de relaxation différentes, Cleveland Clinic Stress Meditations est facile à utiliser et très efficace. En pratiquant ces techniques, vous influerez sur votre santé et améliorerez votre vie.

Qu'est-ce que les méditations au stress de la clinique de Cleveland peuvent faire pour vous :

  • Aider à mieux maîtriser vos émotions stressantes
  • Permettre de profiter du présent et de vous inquiéter moins pour l'avenir
  • Vous permettre de vous sentir mieux dans votre peau et dans votre vie
  • Réduisez vos risques de développer des maladies liées au stress.

Huit techniques de relaxation :