parapluie Oombrella

Oombrella : un parapluie 3.0

L'Oombrella, le parapluie connecté

Combien de personnes se retrouvent sans leur parapluie justement quand elles en ont besoin ? Combien de fois oublie-t-on son parapluie au restaurant ou dans le train ? L’Oombrella, nouvel objet connecté a été présenté par Wezzoo au CES 2016, répond à ces questions.

L’Oombrella est un parapluie 3.0 : un parapluie intelligent et connecté qui fonctionne grâce aux smartphones connectés en Bluetooth à la carte météorologique collaborative Weezzo. Ce parapluie tient informé des changements climatiques et récolte lui-même un certain nombre de données grâce aux capteurs intégrés dans son manche :

- l’humidité

- l’exposition UV

- la température

- la pression

- la luminosité

En plus de ce travail de récolte et d’analyse des données, la véritable valeur ajoutée de l’Oombrella se trouve dans d’autres fonctionnalités utiles : il envoie une notification à son propriétaire un quart d’heure avant l’arrivée de la pluie « "Emmène-moi avec toi, il va pleuvoir dans 15 minutes", et l’alerte aussi s’il l’a oublié quelque part. En moyenne, 10 millions de parapluies sont jetés par an. Ce secteur est souvent en manque de qualité et les problèmes sont récurrents.

L’Oombrella propose des solutions et constitue une réelle innovation sur ce marché.

C’est grâce à une campagne de crowdfunding que Weezoo se lance dans la commercialisation de l’Oombrella. En attendant son lancement officiel, les prototypes du parapluie et les premières éditions sont proposés en tant que contrepartie à la participation au projet. Trois couleurs du parapluie sont disponibles : le modèle « Shiny », ou un modèle « White Edition » plus élégant, ou le plus classique le « Black Edition ». Y sont également proposées plusieurs tailles : le format classique ou le format de poche (pliable). Un autre atout du parapluie est son embout universel pour y accrocher une caméra de type GoPro pour admirer la vue du ciel.

Maintenant, il ne manque plus qu’à tester le parapluie en condition réelle !

Par notre étudiante : Clémentine Ferrer