L’économie circulaire : une révolution industrielle, managériale et sociétale ?

Conscientes des enjeux climatiques, de l’épuisement des ressources naturelles, et des abus sociétaux, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à adopter un modèle circulaire. Une volonté de rompre avec le modèle traditionnel, ou autrement appelé linéaire - qui consiste à exploiter des ressources, produire, consommer puis jeter - émerge en faveur d’une économie plus respectueuse de l’environnement appelée économie circulaire. Cette dernière se définie comme étant « un ensemble d’actions permettant de rallonger l’utilisation des matières et des objets » d’après Grégory Giavarina, délégué général de l’Institut de l’économie circulaire. (1)

Afin d’avoir une idée plus concrète de ce qu’est l’économie circulaire voici quelques exemples d’entreprises qui l’appliquent dans le but d’être davantage durables, compétitives ou tout simplement pour donner du sens en créant du lien social.

L’économie de fonctionnalité : le cas de Rentez-vous.com

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Pour toutes fashionistas ayant un petit budget,  un beau concept à retenir : Rentez-vous !

Un projet impulsé par Fiona Disegni, une jeune entrepreneuse de 26 ans. Dans les pages de Socialter Magazine, elle confie comment lui est venu son idée : «  J’ai passé mon temps à piquer des fringues à mes coloc’. Et je me suis dit qu’il était dommage de ne pas pouvoir faire ça à grande échelle ! ». En soit le désir de nombreuses femmes !

Le concept de Rentez-vous ? Une plateforme sur internet lancée en septembre 2014 donnant l’opportunité à des particuliers de louer des vêtements pour un prix de 10 à 20% du prix d’achat initial. Cela permet, d’une part,  à celle qui met en location de rentabiliser sa garde-robe non utilisée  et, d’autre part, pour celle qui loue de porter temporairement des pièces à moindre prix et ainsi multiplier et varier ses looks. Pour l’instant, la remise de l’objet de convoitise se fait en main propre mais à terme la mise en place d’une livraison est prévue. Rentez-vous est donc un parfait exemple de ce qu’est l’économie de fonctionnalité, nous n'achetons plus un bien mais son usage. Fini d’être une « fashion victime » !

Le re-manufacturing / Le reconditionnement: le cas de Renault

Renault

Les matières premières telles que le pétrole, le plastique ou les métaux utilisés par l’industrie s’épuisent. Face à cette diminution des ressources, Renault a très tôt compris la nécessité de savoir s’en passer. Dès 1949, elle a ainsi été pionnière dans le re-manufacturing grâce au rachat d’une usine de rénovation de moteurs située à Choisy-le-Roi. L’entreprise s’est vue décerner le trophée de l’économie circulaire le 3 juillet 2014 pour son implication. (2)

Le réemploi : le cas La Réserve des Arts

Réserve

« Moins de gaspillage, plus de partage » (3) ces mots si justement formulés par  Stéphanie Goujon, déléguée générale de l’Agence du don en nature, seraient une juste représentation de ce qu’est La Réserve des ArtsIl s’agit d’une association qui propose aux professionnels et étudiants du secteur culturel des rebuts et chutes de matériaux récupérés auprès d’entreprises. Leur mission s’inscrit dans une volonté de réduire les déchets, de donner une seconde vie à ces matières non utilisées mais également de créer du lien social. En effet, des apéritifs sont organisés autour d’un sujet permettant ainsi de belles rencontres et même la naissance de belles collaborations !

Au travers de ces exemples, l’économie circulaire semble être incontestablement le modèle vertueux par excellence. Alors, une question nous vient à l’esprit : pourquoi toutes les entreprises ne l’appliquent-elles pas ?

Quelques éléments de réponse nous sont apportés par Grégory Giavarina :

« On ne change pas de système du jour au lendemain. Les start-up peuvent construire un modèle très abouti d’économie circulaire, parce qu’elles partent de zéro, mais les entreprises qui existent depuis un certain temps doivent changer de stratégie, mobiliser une équipe. Le directeur du développement durable devrai convaincre le directeur financier, le directeur stratégique, le conseil d’administration… Or beaucoup continuent de penser que la rentabilité n’est possible qu’en produisant et en venant un maximum de biens de consommation ». (1)

Ainsi, au-delà de la nécessité d’avoir une industrie adaptée, c’est un changement de mentalités, de management qui doit s’opérer au sein des entreprises de l’hexagone. Mais ce changement ne peut se faire à grande échelle sans le soutien de l’Etat qui a un rôle décisif à jouer, celui d’établir un cadre réglementaire incitatif.

Emilie Betton

Sources: 

- (1) Fabien Soyez (2015, avril - mai). "Quand les industriels changent de paradigme. Usines en boucle". Socialter Magazine, n°10, p 35 à 37.

- (2)  http://www.7pm-auto.fr/wp-content/uploads/2014/07/BI_14_07_03_RenaultGroup_59603_global_fr.pdf

- (3) Anaëlle Penche (2015, avril-mai). "Réemploi: ces entrepreneurs qui trouvent une seconde vie utile à vos produits". Socialter Magazine, n°10, p 41 à 43.


Le « MINI-malisme », MINI et son engagement pour la planète.

Le « MINI-malisme »,

Mini et son engagement pour la planète.

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Environnement et automobile ont rarement fait bon ménage. Aussi, rare sont les entreprises de ce secteur à réussir à imposer de manière crédible leur vision et leur engagement en matière de développement durable. C’est en tout cas le pari que tente la marque MINI au travers de son programme de développement automobile. Zoom sur le « MINIMALISM », philosophie éco-responsable de l’enseigne fabricante de la plus britannique des citadines.

Pour respecter son engagement pour la planète l’enseigne joue sur tous les niveaux : que ce soit sur la technologie utilisée, la fabrication même, ou le choix et le développement de ses modèles, la marque semble vouloir limiter au maximum l’impact des nouvelles MINI sur l’environnement.

Ainsi, pour le choix de ses technologies embarquées la logique du « moins, c’est mieux » est de rigueur. L’idée est ici de garantir l’efficience et la basse consommation de l’ensemble des modèles.  Cette philosophie est justement visible avec les innovations que la marque déploie : « Une MINI se contente de peu. Ses composants lui donnent juste ce dont elle a besoin, quand elle en a besoin. Ses systèmes automatiques de refroidissement et d’alimentation se mettent en marche et s’arrêtent automatiquement à la demande. D’où une baisse de la consommation d’énergie : moins de carburant, moins d’émissions. Composants moteur, construction allégée et nouveaux systèmes d’assistance électroniques contribuent activement à améliorer le bilan énergétique des modèles MINI. »[1] (mini.fr). La technologie est durable, les émissions réduites mais la petite voiture garde tout son cachet. C’est notamment le « système de conduite intelligent » qui impose clairement la vision d’une conduite responsable selon MINI. Avec celui-ci l’économie d’énergie semble réellement effective: « la fonction d’arrêt et de redémarrage automatique du moteur et l’indicateur de changement de rapport veillent à ce que la sobriété soit toujours au rendez-vous. […] économiser de l’énergie à tout moment, que ce soit en accélération, au freinage, en tournant ou à l’arrêt. »[2] (mini.fr). De plus, les composants en aluminium, permettant allègement de plusieurs parties du véhicule et un meilleur aérodynamisme, assurent une baisse conséquente de la consommation d’énergie et donc des émissions liées.

mini1Sur le même principe, la fabrication des modèles MINI, du développement à la production, suit une ligne de conduite que la marque veut responsable et consciente des enjeux environnementaux. Que ce soit le design, la planification nécessaire ou encore la logistique, tout est pensé avec cette même philosophie. Un exemple concret est ce que MINI appel le « processus de peinture intégré » : « […] Le processus de peinture intégré permet d’appliquer une couche de peinture en moins qu’avec les procédés conventionnels. Avec un triple bénéfice pour l’efficacité : La renonciation à la couche d’apprêt contenant des solvants ménage l’environnement. Le processus de peinture intégré rend superflu le laquage, une procédure consommant beaucoup d’énergie. Un nombre d’opérations réduit permet d’économiser de l’eau, de l’énergie et se solde donc par des émissions réduites. »[3] (mini.fr).
MINI2En ce qui concerne la vie des modèles, rien n’est laissé au hasard. Dès leurs conceptions la marque pense au « après ». Ainsi, la fin de la vie d’une MINI en tant que véhicule utilitaire ne signifie pas pour autant la fin de la route pour cette dernière. En effet, grâce à son design durable, la voiture, une fois inutilisable, est facilement désassemblée, les produits nocifs sont retirés et ses pièces utiles sont recyclées en matière première réutilisable. Un bon exemple d’un rouage d’économie circulaire mise en place dans le milieu automobile. À noter que de nombreux centre VHU[4] reprennent gratuitement les véhicules des propriétaires soucieux de faire un geste pour la planète.

Mais la marque ne serait pas convaincante dans sa démarche responsable sans proposer un véhicule « propre » nouvelle génération, surfant sur les tendances actuelles. C’est ici qu’intervient la MINI-E. 100% électrique et basée sur le système du plug&drive, elle permet aux conducteurs avertis d’apprécier la conduite MINI avec 0% d’émissions néfastes pour la planète.

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Le « MINIMALISME » semble donc être la manifestation d’une réelle volonté d’œuvrer pour la planète de la part de MINI. Et, qu’importe les détracteurs et les sceptiques, force est de constater que peu, voir aucune, accusations de Greenwashing ou de scandale environnemental ne se sont, pour l’heure, élevés contre MINI. Sans doute la preuve la plus parlante du sérieux et de la bonne conduite de la plus célèbre des citadines britannique. Le mieux est encore de vous faire votre propre idée et de personnaliser votre MINI en fonction de votre engagement!

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Lucas Suet.

[1] http://www.mini.fr/minimalism/product/index.html

[2] http://www.mini.fr/minimalism/product/intelligent_driving/index.html

[3] http://www.mini.fr/minimalism/production/index.html

[4] http://www.mini.fr/minimalism/production/recycling/index.html


Aldebaran invente vos amis de demain !

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...Ou plutôt d'aujourd'hui ! En effet, depuis juin 2014 Aldebaran, leader mondial des robots humanoïdes, accueille n’importe quel curieux au sein de son « Atelier » d’Issy-Les-Moulineaux dédié à la robotique, histoire d’encourager le premier pas entre l’Homme et la Machine.

Le Master 2 Marketing de l’Innovation y a récemment été invité. Difficile de résister à l’appel pour des étudiants dont le leitmotiv d’étude est la découverte et la promotion d’innovations. C’est donc avec une curiosité non feinte que nous nous sommes rendus à l’Atelier.
Chronique d’une véritable rencontre « du 3eme type ».

Ouvert aussi bien aux développeurs, professionnels, qu’au grand public ou autres geeks passionnés, l’Atelier propose d’approcher deux des trois robots humanoïdes (càd : à l’apparence humaine), créations 100% made in Aldebaran : NAO et PEPPER. Cette rencontre se fait dans un espace de plus de 260 m2 découpé en 3 zones : Découverte, Apprentissage et Développeurs.

La visite de L’atelier se fait en 3 parties :

- Une courte présentation d’Aldebaran, occasion d’en apprendre plus sur la société et ses premières créations. A noter que cette présentation est parfois réalisée par l’un des NAO présent à l’atelier, secondé par un intervenant de la société (et non l’inverse).

- Une interaction libre avec les robots NAO et PEPPER. Dans l’espace découverte vous pouvez ainsi échanger quelques mots et interactions avec les deux types de robots disponibles :

NAO, le plus petit de la famille a été conçu pour être un véritable compagnon à la maison. Il est entre autres capable de danser, se promener avec vous, jouer à des jeux comme des devinettes ou encore faire des mathématiques. Néanmoins c’est la capacité de ce petit robot à reconnaitre nos mouvements et suivre du regard notre visage qui nous a tout d’abord bluffés. Plutôt troublant lors des premiers instants, quand on réalise que l’on fait face à une machine.

Aldebaran2Même constat pour PEPPER, d’autant plus qu’elle dépasse le mètre et est beaucoup plus fluide dans ses déplacements. Cette dernière était quant à elle capable de jouer de la musique enregistrée en plus des actions que proposait déjà NAO.

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- Enfin la visite se termine par une courte séance de programmation avec un développeur. Celle-ci se fait à l’aide de programmes mis au point par Aldebaran. Simples et très intuitifs, ils permettent à n’importe qui de programmer des actions sommaires aux NAO mis à disposition pour la séance et de voir le résultat de leur travail.Aldebaran5

Ah et bien sûr vous pouviez repartir avec une photo souvenir, preuve de votre passage :

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Le mot de la fin :

Que l’on adhère ou pas, et au-delà des perspectives marketing intéressantes qu’ils promettent, force est de constater que ces robots qui nous ressemblent sont bien partis pour intégrer notre quotidien, il ne tient désormais qu’à nous de les adopter.

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Par Carlos & Lucas


Le M2MI est en stage !

Depuis maintenant deux mois, les étudiants du master ont commencé leurs stages de fin d'étude. Le type d'entreprise, les postes et les missions  sont variés, voici quelques exemples :

Les Éditions Atlas - Assistante chef de produit

Globe Groupe - Assistante chef de projet

Wi-Fi Guide (Start-up Russe) - Responsable marketing et communication

Emma&Chloé (Start-up) - Chargée de développement

PSA-Peugeot- Assistante chef de marché / PSA Peugeot Citroën - Assistant chef de marché

Numericable - Assistante chef de produit

Photobox - Assistante chef de produit

Envido - Chargée de marketing et communication

Dolead - Assistant Marketing

Matecir Defibril - Chef de projet

Arôme 9 - Assistant chef de produit

AXA - Chargée de marketing et communication

Nanothinking - Chargée de développement

Marionnaud - Assistante Webmarketing

Dans la continuité du master, au coeur des problématiques marketing et d'innovation les étudiants continuent leur apprentissage jusqu'au mois de septembre en attendant la relève.

Les inscriptions c'est par ici : http://seve.jm.u-psud.fr/dossierm2/dossierm2.html


Do you speak Made in France ?

« Made in France » ce terme il y a quelques années quasi inemployé est aujourd’hui au cœur des discussions, des débats et des tendances de consommation.

Alors, posons nous les questions suivantes : le made in France est-il vraiment de retour ? Influe-t-il réellement sur les comportements de consommation et les habitudes d’achat ?

Certaines marques ont surfé sur la vague du made in France mais sont-elles vraiment crédibles ? Les consommateurs peuvent-il avoir confiance. Des enseignes y ont vues une opportunité de marché et ne sont pas toujours légitimes auprès des consommateurs. En effet, depuis quelques années nous sommes submergés de produits « brandés made in France », selon un récent sondage*, 77% des Français se disent prêts à payer plus cher pour un produit fabriqué sur le territoire "Un gage de qualité", pour 93% des sondés. Les enseignes y ont vues une opportunité de marché et ne sont pas toujours légitimes auprès des consommateurs.

Alors dans le fond, le made in France est-ce l’origine des produits ? L’endroit de leur production ? Ou l’endroit de leur transformation finale ? ou est-ce une nouvelle façon de faire du business en trompant le consommateur ?

Certaines marques ont fait le pari que le made in France serait de plus en plus dans les habitudes d’achats des français, en effet celles-ci estiment qu’il y a eu une prise de conscience sur les effets négatifs qu’a pu avoir la mondialisation et la situation de plus précaire en France. Prenons l’exemple de la marque « le slip français » lancée en 2011, elle est aujourd’hui une des marque les plus en vogue et produit 100% de sa fabrication en France.

D’autres, comme de grandes maisons de luxe, n’ont jamais délocalisé car la qualité de leur produit et leur crédibilité en dépendait. La maison J.M. Weston est une des meilleures références, depuis 1891 la marque possède ses industries et usines de production à Limoges, symbole emblématique et représentatif des valeurs de la marque.

Nous vous invitons à consulter les articles relatifs à JM Weston et la made in France pour connaître plus la marque ainsi que leur implication au quotidien afin de conserver la production française :

http://www.atlantico.fr/rdv/atlantico-chic/jm-weston-excellence-made-france-hugo-jacomet-893473.html

http://www.lepoint.fr/dossiers/art-de-vivre/made-in-france/made-in-france-j-m-weston-bon-pied-bon-oeil-14-07-2013-1704243_1608.php

Ainsi que le documentaire surprenant et très intéressant : L'année où Benjamin Carle a vécu 100% Made in France

http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid6918-c-made-in-france.html

Julie, Soundous, Clémentine, Neila et Stefan


L'éco-conception par Maria FORTUNATO ALLIER

Excellente conférence de Maria FORTUNATO ALLIER, chargée de missions éco-conception, auprès des étudiants du Master II ‘Marketing de l’innovation’ de Paris-Sud UFR Jean Monnet.

Très bonne oratrice, elle a su captiver l’attention des 20 étudiants en expliquant tout d’abord ses missions au sein d’OREE pendant un an, à savoir, gérer des projets d’éco-conception, collaborer dans la réalisation du guide OREE, organiser et animer des conférences.

Elle a ensuite présenté l’approche de l’éco-conception en détail. En mettant en avant les différents critères : allier design et nouvelles fonctionnalités, autonomie d’énergie.

Il s’agit d’une approche multi-composants afin d’éviter le transfert de pollution d’une étape à une autre, ou d’un milieu naturel vers un autre. Elle a également exposé les différents impacts environnementaux, comme les gaz à effet de serre, acidification, eutrophisation écotoxicité aquatique, consommation d’énergie non renouvelable, consommation de ressources rares.

Toute la démarche éco-conception a été développée dans l’ordre suivant : identifier les enjeux pour l’entreprise, collecte et analyse des données, évaluation environnementale, recherche de solutions, aide à la décision et communication/information

D’autant plus, l’intervenante nous a ouvert les yeux sur l’impact de la durée de conservation des téléphones mobiles, par exemple, l’impact environnemental est plus important pour une durée de 12 mois que de 24 mois de conservation.

La conférence fût extrêmement enrichissante et interactive. La sensibilité de Mme  FORTUNATO ALLIER au développement durable nous a permis d’avoir une vision différente sur le sujet.

Camilo, Barbara, Feriel, Quing et Wembo


Fin du challenge Innovation !

Lundi 4 Mars les équipes de challenge ont présenté leurs projets devant les membres du jury universitaires et les représentants des différentes marques.

Ce jour marque la fin d'un projet motivant pour les étudiants ainsi que le début de nouvelles aventures, puisque nous commençons tous nos stages de fin d'études. A suivre, les témoignages de la promo 2013-2014 quand à leurs diverses missions en stage.

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A très vite & bon stage à tous

L'équipe du blog

 

 

 

 


Nos impressions sur Sublimeeze relayées sur le blog d'Improveeze

Nous vous proposons de découvrir l'interview de deux étudiantes du Master qui ont joué le jeu des questions/réponses autour du concept Sublimeeze, découvert lors de notre visite à l'échangeur by LaSer.

 Cet interview est à lire sur le blog d'Improveeze ICI.

Nous tenons à remercier très chaleureusement Fabien Fouissard, Business Manager chez Improveeze pour sa disponibilité.

Nous le retrouverons très prochainement lors de l’événement Microsoft TechDays 2014, où le blog portera à son tour la casquette de "journaliste reporter" afin d'obtenir une interview exclusive et des informations croustillantes !

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Les vitrines 2.0

Les Galeries Lafayette sont mondialement connues pour leurs vitrines aux mondes enchanteurs et aux décors merveilleux…pour la sortie du film de Christophe Gans « la Belle et la Bête », les Galeries rendent hommage à ce comte idyllique grâce à une vitrine interactive qui permet aux plus curieux d’apercevoir entre autre le château de la Bête.

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Un article à découvrir en vidéo et en images

http://golem13.fr/vitrine-interactive-belle-et-la-bete/

 


La personnalisation de masse

Et nous poursuivons notre revue de presse, avec un nouvel article à découvrir en image sur le thème de la personnalisation.

On se demande comment la personnalisation va avec « la masse » et comment les marques arrivent à surfer sur cette tendance. Un diaporama intéressant sur le sujet, le concept de personnalisation prend ainsi tout son sens.coca_prenom_770-320x185

Un article e-marketing signé Aurélie Baffert

http://www.e-marketing.fr/Thematique/Strategies-1001/Diaporamas/Quand-les-marques-misent-sur-la-personnalisation-de-masse-226121/Coca-Cola-226129.htm#Diapo

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